Ah, Mario ! Notre bien vieux poto à moustache est sans aucun doute l’un des personnages les plus emblématiques de l’histoire du jeu vidéo. Depuis son apparition dans les années 80, il a sauté, couru et volé dans nos cœurs à travers une multitude de jeux, devenant ainsi une véritable icône culturelle. Mais pour chaque « Super Mario 64 » ou « Mario Kart », il y a des titres moins connus, et disons-le franchement, pas toujours à la hauteur. Aujourd’hui, nous allons explorer un pan méconnu de l’univers Mario : les 5 pires jeux mettant en scène notre plombier préféré, ceux que vous ne connaissez peut-être même pas. Préparez-vous, car cette liste pourrait bien ébranler votre amour pour le héros de Nintendo !
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ToggleMario is Missing!

Dans l’univers emblématique de Nintendo, Luigi, souvent relégué au second plan derrière son frère Mario, s’offre une place de choix dans le jeu innovant et éducatif « Mario is Missing ! » développé par Software Toolworks et sorti en 1992 sur Super Nintendo. Le jeu présente un scénario inédit et captivant : depuis son château en Antarctique, le malicieux Bowser concocte un plan machiavélique pour submerger le monde sous les eaux en faisant fondre les glaciers à l’aide de sèche-cheveux. Pour financer son projet démentiel, il ordonne à sa progéniture de démanteler et de vendre les monuments les plus prestigieux de la planète. Alors que Mario, capturé par l’ennemi, ne peut intervenir, Luigi se retrouve propulsé en première ligne, endossant avec brio le rôle de héros.
Ce jeu, s’écartant des traditionnels jeux de plateforme de la série Mario Bros, propose une expérience ludique unique. « Mario is Missing ! » emprunte certes l’esthétique de « Super Mario World », mais réinvente le gameplay en invitant les joueurs à parcourir le monde, à résoudre des énigmes pour reconstituer des monuments historiques, et à interagir avec des personnages inspirés de Peach. Cette approche permet d’enrichir ses connaissances géographiques tout en s’amusant, sans la pression des jeux plus compétitifs.
Bien que le jeu souffre de répétitivité et d’une durée de vie limitée, « Mario is Missing ! » séduit par la diversité des villes explorées, leur architecture soignée et des adaptations musicales issues de « Super Mario World ». Malgré un accueil mitigé chez les joueurs peu enclins aux jeux éducatifs ou à la géographie, ce titre reste un jalon important dans l’évolution de Luigi, prélude à son rôle central dans le succès ultérieur de « Luigi’s Mansion ».
A réserver aux collectionneurs, ou aux enfants; c’est simple, répétitif et peu novateur dont voici un peu de Gameplay

Hotel Mario

Hôtel Mario sur le CDI de Philips, c’est un peu comme découvrir une espèce inconnue dans son jardin : surprenant et légèrement déroutant. L’histoire ? Un scénario digne d’une tragédie grecque, mais avec des plombiers et des champignons. Bowser, le roi de la subtilité, kidnappe la Princesse Toadstool. Mario et Luigi, pensant aller à un pique-nique, se retrouvent à jouer les sauveurs dans un enchaînement d’hôtels, qui ont apparemment oublié le concept de « Bienvenue ».
Le jeu en lui-même est un défi de logique : fermer des portes en évitant des monstres. Les ennemis varient du classique Goomba à des créatures plus excentriques, demandant parfois des stratégies dignes d’un échiquier en 3D pour les vaincre.
Visuellement, le jeu est un feu d’artifice de couleurs, avec des graphismes qui flirtent entre l’œuvre d’art et le dessin animé des années 90. Les séquences vidéo, quant à elles, sont un voyage dans le temps, rappelant les premiers jours de l’animation numérique.
La bande-son suit le pas, oscillant entre mélodies entraînantes et des airs qui pourraient accompagner un ascenseur en route vers l’inconnu.
C’est pas un must have en toute franchise, et s’il fallait encore vous en convaincre on vous a sélectionné une vidéo très marrante 😀

Mario Party Advance

Mario Party sur Gameboy Advance, c’est une exploration inédite de la série dans le domaine du portable. D’un côté, il y a le charme de la nouveauté, avec son mode solo plutôt bien fait, assez rigolo. De l’autre, les graphismes simples, typiques de la Gameboy Advance, confèrent au jeu un style rétro, évoquant une certaine nostalgie teintée de simplicité.
L’introduction d’éléments de RPG dans Mario Party Advance était une tentative subtile de renouvellement, on sent que ça partait d’une bonne intention. Cependant, malgré ces efforts, le jeu peine parfois à captiver pleinement, avec ses mini-jeux plus courts qu’une partie de cache-cache à Toadville. Selon les critiques, c’est certainement un, si ce n’est le, pire jeu de l’univers Mario, un essai intéressant mais qui n’atteint pas tout à fait les sommets festifs espérés… pour preuve

Mario Pinball Land

Plongeons dans le monde surréaliste de « Mario Pinball Land », un jeu qui semble diviser l’opinion comme une balle de flipper en pleine action. Imaginez Mario, transformé en boule rebondissante, dans une quête étrange pour sauver Peach. Cela sonne horrible, mais étonnamment, certains trouvent ça plutôt amusant. D’un côté, nous avons ceux qui le qualifient de « pire jeu jamais créé », un véritable cauchemar ludique où la chance règne en maître et les commandes semblent conçues par un ennemi de la joie. D’autres, en revanche, voient en lui un charmant divertissement, malgré ses graphismes qui ne sauvent pas le navire du gameplay bancal. Entre frustrations, ennemis bloquants et boss finaux éreintants, certains joueurs se sont sentis comme affrontant trois jeux Dark Souls simultanément, mais sans le plaisir masochiste. Et puis, il y a ceux qui, malgré les aléas et une certaine monotonie, trouvent leur bonheur dans ce titre modérément amusant, rappelant que même dans la médiocrité, Mario garde son charme.

Mario & Sonic aux Jeux Olympiques d’Hiver de Sotchi 2014

« Mario & Sonic aux Jeux Olympiques d’Hiver de Sotchi 2014 », ça fait le taff, mais ça manque quand même de finesse. Nos héros de jeu vidéo, Mario et Sonic, se retrouvent dans une aventure olympique aussi prévisible qu’une fondue en hiver.
Graphiquement correct sans éblouir, le jeu propose un assortiment d’épreuves qui, malgré leur nombre, finissent par tourner en rond. Le gameplay, oscillant entre GamePad et Wiimote est un peu étonnant. Quant au mode online, nouveauté de cet opus, il s’avère aussi limité qu’un snowboard sur du bitume.
Les épreuves « Rêve » tentent d’apporter un peu de fantaisie, mais certaines semblent avoir été pondues juste pour remplir. Et les modes de jeu, malgré leurs efforts pour varier les plaisirs, manquent cruellement d’originalité.

Et voilà pour notre top des piiiiiiiiiiiiiires Mario; bon c’est un titre qui pousse au click (pour ne pas dire autre chose); ces jeux sont quand même loin d’être des énormes daubes; c’est très moyen, mais bon, on lui pardonne à notre bon vieux Mario…
Et vous, vous avez un Mario que vous avez détesté ? Dites le nous en commentaires !